Bonjour à vous ! Je m'appelle Jazz Elsa Holt -mais appelez-moi Ja' ou Jazzie-. Je suis originaire de Boston mais j'ai décidé de (re)venir/rester dans les environs. Pour parler brièvement de ma personne, je suis âgé de 34 ans, je suis hétérosexuelle et présentement, je suis célibataire. Dans mon quotidien, je  travaille en tant que assistante pour Seth Cohen. De toutes façons, je vis dans un milieu aisé et je ne m'en plains pas. Vous voulez plus en découvrir sur moi ? Okay, en espérant que vous avez dix minutes devant vous.

 

La mode se démode, le style jamais.

Voilà une phrase que Coco Chanel à bien sortie, et elle me correspond. Même si je passe du temps dans un bureau à dessiner le style pour moi est très important, d'où ma passion pour les vêtements et le shopping. Une chose que j'ai hérité de ma mère d'ailleurs. J'adorais faire les magasins avec elle, et j'adorais aller la voir dans ses magasins aussi. Je m'amusais toujours à porter des robes plus grande que moi, à mettre la robe de mariée de ma mère ... et puis j'ai grandis et j'ai fais mon style. Je prends soin de moi c'est vrai, une heure tous les matins entre le maquillage, la coiffure et l'habillage. Une chose que les garçons ne comprendrons jamais.

✕ A force de vivre solitaire, on finit par acquérir un très mauvais caractère.

Mon point faible ? Mon caractère. Rassurez vous de suite, je suis une personne très souriante, très gentille et généreuse, prête à aider les autres. Mais je suis aussi très bordélique, râleuse, têtue, lunatique qui démarre au quart de tour quand on lui dit quelque chose. En bref, je ne suis pas facile à vivre au quotidien. J'aime faire aux autres ce que je n'aimerais pas qu'on me fasse, enfin bref vous le voyez, pleine de logique. Pour couronnez le tout, on ajoute à la recette une bonne dose de jalousie et un poil (un gros poil) de sensibilité et je suis explosive. Mais j'ai de la chance que mes amis m'acceptent comme je suis. Malgré tout, il y a quelque chose que je n'ai jamais fait : me comporter comme une enfant gâtée. Je n'ai jamais rien demandé en faisant des caprices car même si l'argent fait parti de mon milieu, en rien il ne fait mon bonheur.

✕ De toutes les passions, la seule vraiment respectable me parait être la gourmandise.

Je n'ai pas honte de dire que jusqu'à l'âge de quatorze ans j'ai été bouboule. Et oui, si aujourd'hui je peux paraître comme une femme très belle qui attire les garçons il en était autrement avant. Dans ma famille on a toujours bien aimé manger et Sofia faisait des gâteaux magnifiquement bons, alors forcément ça n'aide pas. J'ai prit les choses en main à mon adolescence en regardant les séries télés et en voyant mes actrices préférées maigres. C'est une période que je n'oublie pas, qui est derrière moi, et je lutte aujourd'hui pour les enfants qui ont des difficultés via une association. J'adore les enfants, et comme moi je les aide à vaincre leur obésité ce qui est une vraie maladie pour beaucoup. Je leur rend visite à l'association trois fois par semaine le soir, et je leur parle, je les sors faire du sport ...

« Quand j'avais 5 ans, ma mère me disait toujours que le bonheur était la clé de la vie. Quand je suis allé à l'école, ils m'ont demandé ce que je voudrais être quand je serais grand. J'ai répondu "heureux" Ils m'ont dit que je ne comprenais pas la question. Je leur ai dit qu'ils ne comprenaient pas la vie. »

Ma vie se résume à cela : le bonheur. Je suis heureuse dans ma vie privée et dans ma vie professionnelle. Je n'ai pas grand chose à rajouter à ce que monsieur le grand Lenon à dit, je devais juste le soulever. Une femme pleine de vie qui profite de chaque moment.

Je me dévoile aussi ! Sur le web, je suis Claire et je suis âgée de 20 ans. J'ai trouvé ce forum grâce à bazzart et si vous voulez tout savoir, il est trop beauuuu   . En tout cas, je veux pleins de liens tout farfelus   

C’est à Boston que j’ai vu le jour. Ville de toute la culture via les universités et les nombreuses bibliothèques, mes parents ne devaient pas s’attendre à ce que je débarque un vingt cinq décembre, en fait j’étais même prévu pour le cinq janvier mais en vu des événements j’avais décidé de venir plus tôt. Du moins c’est ma sœur qui a décidé de venir plus tôt. Et oui, je n’étais pas seule, ma sœur jumelle a débarqué avant moi. Mes parents qui pendant plus de trois longues années s’étaient battus pour avoir des enfants, pour un seul et même événement ils en ont eu deux. Anaëlle et moi, Jazz. En fait je m’appelle Elsa à la base mais pour des questions « de respect américain » je devais m’appeler Jazz. Ma mère à des origines française, elle tenait à faire passer un peu de ses origines à travers à nous mais mon père en avait décidé autrement.

Mon père est un avocat réputé pour être très dur en affaire mais aussi très bon puisqu’il a défendu les plus grands hommes de Boston. Ma mère quant à elle est la tête d’une marque française de vêtement implanté aux Etats-Unis. Autrement dit, mes parents ont du frics et pas qu’un peu. Ma sœur et moi n’avons d’ailleurs manqué de rien, ou peut-être de la présence de parents justement. Au début c’était une nounou qui nous élevait, nos parents avaient beaucoup à faire, mon père voyageait, ma mère rentrait tard. Sonia nous a élevé dans de très bonnes conditions. Bien évidemment la famille se retrouvait réunie lors des fêtes de famille : anniversaire, mariage … mais n’empêche que mon enfance n’a pas été super. Du même coup, je me suis réfugiée dans autre chose, refusant de devenir riche comme eux même si je ne renie pas la bonne situation dans laquelle j’étais et dans laquelle je suis encore aujourd’hui. Cependant, je me suis trouvé un passe temps : la lecture et l’écriture.





J’ai d’ailleurs commencé à rentrer dans l’adolescence comme cela : la tête dans les bouquins. Ca m’a valu une visite j’ai l’ophtalmo et des lunettes mais ça m’a aussi valu le goût pour la lecture, le goût pour les mots et même le dessin car entre nous, les deux sont liés. Si certaines personnes de mon  quartier s’amusaient à goûter à la drogue (malgré des parents richissimes très à cheval sur les manières) et bien ma drogue à moi, c’était les bouquins. Du même goût j’étais bonne élève. Assise au premier rang, je me souciais peu des autres, je m’amusais avec mes amies en tant voulu mais à chaque fois que je rentrais de l’école, du lycée et bien je lisais un livre. J’avais commencé à un  roman à l’âge de 13 ans, ça s’appelait « L’histoire d’une vie », mais j’ai vite abandonné car mon style n’était pas … comment dire … encore assez bien développé.
Ma mère m’a inscrite à des cours de dessin et mon père voyait déjà un avenir d’artiste se dessiner devant moi. Mais je n’avais pas cette ambition là, pas encore du moins. Avec les cours de dessins j’ai apprit à développer mon imaginaire et je me suis passionné pour autre chose que les romans : la BD. Et le déclic a été vraiment là. J’ai fait des études à New York dans le dessin, j’ai fait des stages parmi les plus grands dessinateurs de BD, j’ai dessiné pour quelques BD pour enfant mais rien n’y a fait, je ne perçais pas ou du moins je n’en avais pas encore la volonté. Je n’avais que vingt ans après tout. Alors j’ai fais une année entière où je me suis reposée, où j’ai voyagé. J’ai été en France voir mes grands-parents, j’ai été en Australie et au Mexique. Trois coins assez différents à vrai dire mais j’ai toujours aimé ça.  Quand je suis revenue à Boston, j’ai décidé de faire des études de management et de comptabilité. Rester derrière un bureau n’était pas ce que je souhaitais le plus mais pour rendre cette vie plus agréable, il fallait que je tape dans quelque chose que j’aimais. Si je ne pouvais pas aboutir dans le dessin, je devais être assistante en école d’art, de cinéma ou auprès d’éditeurs et créateurs de BD.






Et j’ai réussi ! Du moins aussi grâce à l’influence de mon père c’est vrai. Après deux ans d’études je suis ressortie avec un diplôme et avec un contrat. A vrai dire mes amis eux, sortaient avec un diplôme et le sourire aux lèvres. Moi, j’avais un contrat en plus. Un écrivain de Californie qui m’offrait quatre mois d’essais dans son entreprise. Mon boulot ? Répertorier un certain nombre d’œuvres littéraires et dénicher les prochains écrivains de demain.  J’ai accepté, après tout, c’était un premier boulot avant de trouver mieux. Et j’ai trouvé mieux très rapidement. Son entreprise était une forme d’école, grand hall, plusieurs salles de travail, c’était très moderne. Mon installation en Californie n’était pas simple mais j’avais ma sœur avec moi. En fait, on s’est toujours accompagné partout où nous allions. Bref, un jour alors je travaillais j’ai vu une annonce punaisais sur le mur. Une offre d’emploi comme assistante d’un auteur de BD. Je devais avoir une bonne étoile, car le lendemain j’étais dans le bureau de ce mystérieux auteur à passer un entretien. Seth Cohen m’a embauché tout de suite. Je lui dois beaucoup car c’est grâce à lui aujourd’hui que je lie mes trois passions : la BD, l’écriture, et le voyage. Car oui, Seth voyage beaucoup et je l’accompagne, après tout je suis son assistante. C’est un homme charmant, marié mais c’est ça ce n’est qu’un détail. Il me plait bien lui, et puis on s’entend bien. Même si j’ai un genre un peu « dragueur » je n’ai pas pour habitude de toucher aux hommes mariés. C’est même plutôt une première que je sois attirée par ce genre d’hommes. Et puis entre nous, si c’est pour vivre ce que j’ai déjà vécu, ce n’est pas la peine, déjà que c'est sa femme sur le dos, Summer. On s'est déjà croisés brièvement, une belle femme mais qui croit absolument que nous sommes en compétition. Peut-être qu'elle devrait mieux tenir son homme si elle a peur de moi comme ça.





J’ai déjà vécu une belle et longue histoire d’amour avec Jake. Jake, l’homme parfait, mystérieux dont je suis tombée amoureuse tout de suite. On s’est rencontré pendant nos études. Un garçon qui venait aussi de bonne famille. Deux mois après nous sortions ensemble. Nous étions le couple parfait, celui qui se fait des batailles d’oreiller au réveil, celui qui se mange une glace sur le bord de la mer et qui en met sur le visage de l’autre, celui qui s’amuse et aller dans un photomaton pour prendre des photos … bref, le couple très enfantin par excellence mais on adorait ça. Et puis, comme toute belle histoire qui semble bien partie pour durer, elle s’est finie. Comment ? Oh, un malheureux petit accident. Je suis tombée enceinte. Au bout de six mois de relation je suis tombée enceinte. Il s’est barré. La seule personne qui a été là pour moi, c’était ma sœur et heureusement. Depuis ce jour je me suis promis de ne plus approcher un homme, de ne plus tomber amoureuse d’un homme. J’ai connu quelques aventures, quelques relations mais rien n’a jamais duré. Jake est parti avec une autre fille quand il a apprit que j’attendais notre enfant. J’ai perdu le bébé à trois mois et heureusement, mes parents n’en ont rien su.